Examples of using "Throne…" in a sentence and their french translations:
Mais beaucoup ont cherché son trône.
Qui prendra la succession au trône ?
Le prince accéda au trône.
Les deux fils prétendaient au trône.
Le prince accéda au trône.
Il succèdera au trône.
1066 jeté son dévolu sur le trône anglais.
saisir le trône britannique en 1745.
Razvan s'est battu pour regagner le trône, mais était vaincu.
La révolution et la guerre avaient dégagé le chemin de Napoléon vers le trône… la
Le fils aîné du roi est l'héritier du trône.
Le prince Guillaume est le second en ligne de succession au trône d'Angleterre.
le jour où quelqu'un est né, le jour où il était sur le trône
Ils se sont succédé un roi après l'autre sur le trône pendant ces quelques années.
la maison royale de Bernadotte siège encore aujourd'hui sur le trône de Suède.
Un des rois d'Angleterre a abdiqué pour épouser une roturière.
Le Dauphin est celui qui succède au trône.
"Mais son barbare frère, exemple de tyrans, / Pygmalion, obtint la grandeur souveraine. "
trône de Moldavie, respectant scrupuleusement le serment de fidélité qu'il avait fait à son cousin.
mais ce titre revint au frère de Napoléon Joseph; Murat, à la place, reçut le trône de Naples.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul.
en laissant Radu derrière pour prendre le trône avec le soutien de la cavalerie akinci.
Quand lui et ses partisans sont revenus l'année suivante pour réclamer le trône, ils ont été accueillis
est retourné en Italie, dans une tentative désespérément vouée à lancer une révolution et à récupérer son trône.
Avec le nouveau souverain persan devant sécuriser sa position sur le trône, les deux côtés
Il semble que ce fut un cadeau pour le cinquantième anniversaire de l'accession au trône de la Reine Élisabeth.
la Coalition n'allait pas honorer sa promesse, et Murat serait le prochain à perdre son trône.
En humiliant publiquement Mihai de cette façàn, Alexander espère le faire disparaître en tant que rival potentiel du trône.
Son droit divin au trône fut confirmé la nuit suivante par une comète spectaculaire dans le ciel nocturne.
Avec le roi sans héritier devenant fou et la famille royale empoisonnée, le général de l'armée avait enfin sa chance d'usurper le trône.
" Fuyez, et courez dire à votre souverain / que le sort n'a pas mis le trident en sa main, / que moi seul en ces lieux tiens le sceptre des ondes. "
Si avons-nous beau monter sur des échasses, car sur des échasses encore faut-il marcher de nos jambes. Et au plus élevé trône du monde si ne sommes assis que sur notre cul.
Aussitôt, appelant Eurus et le Zéphyre, / " Eh quoi ! sans mon aveu, quoi ! dans mon propre empire, / d'une race rebelle enfants audacieux, / vents, vous osez troubler et la terre et les cieux ! "
" Et nous, nous, vos enfants, attendus dans les cieux, / privés de nos vaisseaux par les vents furieux, / victimes du dépit d'une fière déesse, / sa main du Latium nous écarte sans cesse ! / Grand dieu ! de notre encens est-ce donc là le prix ? "
Et il arriva qu'à minuit, l'Éternel frappa tous les premiers-nés du pays d'Égypte, depuis le premier-né de Pharaon assis sur son trône jusqu'au premier-né du prisonnier assis en sa prison ; et tous les premiers-nés du bétail.
C'est là qu'étaient ses armes, / c'est là qu'était son char ; là, son superbe espoir / veut voir la terre entière adorer son pouvoir.
Et là, son équitable voix / dicte ses jugements, et proclame ses lois ; / dispense également les travaux de Carthage, / ou par l'arrêt du sort en règle le partage ; / voit, juge, ordonne tout, et d'une noble ardeur / hâte de ses états la future grandeur. / Tout à coup, au milieu d'une foule bruyante, / des étrangers, tendant une main suppliante, / de leurs concitoyens entrent environnés, / et frappent du héros les regards étonnés.
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "