Examples of using "Flame" in a sentence and their french translations:
Il abaissait la flamme.
La flamme s'éteignit.
Abaisse la flamme.
Thomas a abaissé la flamme.
Le soufre brûle avec une flamme bleue.
Il attisa le feu.
La vie est une flamme que la mort étouffe.
- Une petite étincelle allume souvent une grande flamme.
- Une petite étincelle allume souvent une grande amie.
- Sommes-nous sur le point d'avoir une engueulade?
- Sommes-nous sur le point d'avoir une fusillade?
Nous, les gens, protégeons la flamme de notre existence
Pourtant, c'est toujours la flamme que nous regardons.
matériaux normalement résistants au feu s'enflamment.
Une bougie vacille dans la brise.
La flamme vacilla pendant un moment, puis mourut.
Imaginez une flamme briller au milieu de votre front.
Les hommes étaient attirés par elle comme les papillons de nuit par une flamme.
Et regardez, la flamme s'agite aussi. Il y a un courant d'air.
Je lui ai offert un briquet à double flamme que j'ai acheté aux États-Unis.
La flamme vacillait à mesure qu'elle consumait la cire et la mèche de la bougie.
On s'alarme, on s'empresse, et d'une onde abondante / on arrose à grands flots sa chevelure ardente ; / on secoue à l'envi ses cheveux allumés,
La jeune fille le regarda encore, puis elle rougit comme si une flamme lui était montée dans les joues.
Il dit ; et de plus près / les flammes cependant menacent le palais ; / et, d'un cours plus rapide avançant vers leur proie, / en tourbillons fougueux leur fureur se déploie.
Après, faites mijoter à feu doux trente minutes et c'est prêt.
De sa postérité les rejetons naissants, / dont la foule chérie entourait ses vieux ans, / de ses cinquante fils les couches nuptiales, / ces dépouilles des rois, ces pompes triomphales, / trésors, enfants, grandeurs, tout périt sous ses yeux, / et le glaive détruit ce qu'épargnent les feux...
Faites chauffer l'huile de sésame dans la poêle à feu moyen, ajoutez le poulet, l'ail et faites frire ; lorsque la couleur change, versez la soupe chinoise, ajoutez le chou chinois et faites cuire.
La reine cependant par cent et cent discours / de la rapide nuit veut prolonger le cours : / s'enivrant à longs traits d'un poison qu'elle adore, / elle interroge Énée, et l'interroge encore. / Elle trouve du charme à ses moindres récits ; / et, quand Priam, Hector, Andromaque et son fils, / ont fait couler ses pleurs, quand son âme étonnée, / en connaissant Achille, a frémi pour Énée, / des guerriers moins fameux veut connaître le nom, les coursiers de Rhésus, / les troupes de Memnon.
" Sinon vainqueur insulte aux désastres de Troie. / Triomphant au milieu de nos murs enflammés, / un monstre affreux vomit des bataillons armés : / et, tandis que ses flancs enfantent leurs cohortes, / des milliers d'ennemis, se pressant sous nos portes, / fondent sur nos remparts à flots plus débordés / qu'ils n'ont jamais paru dans nos champs inondés. "
" C'est nous qui, compagnons de périls, de travaux, / suivîmes ton exil, partageâmes tes maux ; / c'est nous qui, terminant ta course vagabonde, / à ta race immortelle asservirons le monde. / Ose donc mériter ta future splendeur. "
" Qu'as-tu fait de ton père appesanti par l'âge, / d'une épouse, d'un fils, entourés de carnage, / entourés d'ennemis, et qui, sans mon secours, / par la flamme ou le fer auraient fini leurs jours ? "
Le vieillard, à ces mots, / de son cœur oppressé poussant de longs sanglots : / " Il est, il est venu ce jour épouvantable, / ce jour de nos grandeurs le terme inévitable : / Ilion, les Troyens, tout est anéanti. / De Jupiter sur nous le bras appesanti / livre aux enfants d'Argos leur malheureuse proie. "
De Ténédos leurs nefs partent sans bruit, / la lune en leur faveur laisse régner la nuit ; / l'onde nous les ramène, et la torche fatale / a fait briller ses feux sur la poupe royale. / À cet aspect, Sinon, que le ciel en courroux, / qu'une folle pitié protégea contre nous, / aux Grecs impatients ouvre enfin la barrière.
La nuit couvrait le ciel ; tout dormait, quand mes dieux, / ravis dans Troie en cendre à la fureur des feux, / aux rayons de Phébé qui brillait tout entière, / m'apparaissent en songe, éclatants de lumière, / consolent mes chagrins, et m'adressent ces mots :
Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.
Ainsi Créuse en pleurs, exhalant ses alarmes, / remplit l'air de ses cris, me baigne de ses larmes, / lorsqu'un soudain prodige épouvante nos cœurs : / aux yeux et dans les bras de ses parents en pleurs, / sur la tête d'Ascagne une flamme rayonne, / tourne autour de son front en brillante couronne, / et, d'un léger éclair l'effleurant mollement, / autour de ses cheveux se joue innocemment.