Examples of using "Lest" in a sentence and their french translations:
Ne jugez pas, afin de n'être pas jugés.
Faites attention afin de ne pas rater le train.
Il prit la fuite de peur d'être arrêté.
- J'ai emporté mon parapluie en cas de pluie.
- Je pris mon parapluie de peur qu'il ne pleuve.
Il a étudié assidûment afin de ne pas échouer.
- Nous appelâmes pour le lui rappeler, de peur qu'il ne vienne en retard.
- Nous avons appelé pour le lui rappeler, de peur qu'il ne vienne en retard.
Il l'a noté pour ne pas l'oublier.
Elle détourna la tête de peur qu'il puisse voir ses larmes.
Il nota le numéro afin de ne pas l'oublier.
Elle détourna la tête, de peur qu'il ne voie ses larmes.
Tu dois faire tout ce que tu peux sinon tu pourrais le regretter plus tard.
Fais attention de ne pas tomber.
- Nous sommes entrés par la porte de derrière, de peur que quelqu'un nous voie.
- Nous sommes entrés par la porte de derrière, de peur que quelqu'un ne nous voie.
Je n'ose pas enquêter trop profondément, de peur de découvrir l'horrible vérité !
Il est bon que la guerre soit si terrible, de peur que nous en devenions trop friands.
Je ferai de mon mieux pour rester dans tes faveurs, afin d'éviter d'être coupé en deux par cette langue acerbe qui est la tienne.
Quiconque, en effet, commet le mal hait la lumière et ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient démontrées coupables.
Jacob répondit, et dit à Laban : J’avais de la crainte à la pensée que tu m’enlèverais peut-être tes filles.
Elle détourna son visage afin qu'il ne voie pas ses larmes.
J'ai emporté mon parapluie en cas de pluie.
Elle était inquiète d'être en retard pour le train.
- Il l'a noté pour ne pas l'oublier.
- Il l'a écrit pour ne pas l'oublier.
- Il le nota afin de ne pas l'oublier.
" Sa masse vous surprend ; mais ils ont craint, dit-on, / si dans les murs de Troie on pouvait l'introduire, / que son appui sacré ne sauvât votre empire, / de Pallas à vos murs ne rendît la faveur. "
Il nota le numéro afin de ne pas l'oublier.
Ainsi dit Jupiter ; mais il craint que Didon, / ignorant les destins des enfants d'Ilion, / ne leur ferme les murs de sa cité nouvelle : / il lui députe alors son messager fidèle.
" Dans Chypre ou dans Cythère, au fond d'un bois sacré, / des vapeurs du sommeil mollement enivré, / je vais le déposer et le cacher moi-même, / pour qu'il ne trouble point notre heureux stratagème. "
Ne jugez pas, afin de n'être pas jugés.
" Arbitre souverain de l'empire des cieux, / toi qui, régnant dans l'air, sur la terre et sur l'onde, / tiens en main et la foudre et les rênes du monde, / qu'a donc fait mon Énée, et qu'ont fait les Troyens ? / Sauvés par mes secours du fer des Argiens, / faut-il, pour leur fermer les chemins d'Ausonie, / que de tout l'univers leur race soit bannie ? "
" Hélas ! et plût au ciel que le même naufrage / eût conduit votre chef sur le même rivage ! / Je vais, jusqu'aux confins de mes vastes états, / partout faire chercher la trace de ses pas : / peut-être nous saurons quel désert, quelle ville / à ses destins errants ont offert un asile. "
La femme répondit au serpent : Les fruits des arbres du jardin, nous pouvons en manger ; mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez pas, vous n’y toucherez point, sous peine de mourir.
L’expérience humaine de la traduction, de sa difficulté, de ses tâtonnements, constitue une richesse irremplaçable. Les passages d’un univers mental à un autre, les voyages instructifs qui en découlent, les écarts qu’on y explore ne doivent pas être annulés. On y perdrait en humanité.
" Ce n'est pas tout encor : lorsque sur le rivage / aux dieux conservateurs tu paîras ton hommage, / qu'un long voile de pourpre, abaissé sur tes yeux, / dérobe à tes regards tout visage odieux ; / défends qu'aucun objet d'un augure sinistre / ne trouble le présage ainsi que le ministre. "