Examples of using "Seas" in a sentence and their french translations:
Il a navigué sur les sept mers.
Dans ces mers sombres se déroulent...
le commerce, en contrôlant les mers, puis désormais
- Les pirates naviguaient sur les sept mers.
- Les pirates parcouraient les sept mers.
- Les pirates ont navigué sur les sept mers.
Je préfère la montagne à la mer.
le contrôle des mers environnantes. Chine
sur les mers et dans les airs.
vont avoir affaire à la montée des eaux.
générant leur propre lumière et illuminant les mers.
alors pourquoi le tsunami ne peut pas se produire en mer fermée
Loi des mers, qui dit qu'un pays
qui protègent nos rivages de la montée des mers et des orages.
cette masse d'eau n'est pas disponible dans les mers
est, en ce moment, stockée par la terre et la mer
Elle rôdait déjà dans ces bas-fonds avant l'ère des dinosaures.
J'aime voyager sur des mers interdites et accoster sur des rivages barbares.
On dit que la Chine joue des coudes dans les mers du Sud.
. Par conséquent, le niveau des mers et des océans augmentera au point
dans les mers et les océans, provoquant une élévation du niveau de la mer. Ce qui
Aujourd'hui, ils vont aussi cette année dans les
Ils ont escaladé les plus hauts sommets et marché sur le fond des mers.
Ne devrait-on pas déverser toutes les mers dans l'hémisphère sud d'ici dans les océans?
, la fonte totale élèvera le niveau d'eau des mers et des océans d'environ
- Le requin blanc atteint souvent, dans les mers tropicales, une longueur de plus de 30 pieds.
- Le requin blanc atteint souvent, dans les mers tropicales, une taille de plus de 9 mètres.
Je préfère la montagne à la mer.
Ayant traversé tous les océans du globe, il se noya dans un verre d'eau.
Quant a l’école anglaise la puissance d'un État se définit par la domination des mers
J'ai traversé des mers d'éternité pour comprendre que la notion du temps n'est qu'une illusion.
Il vaut bien mieux avoir un point d'ancrage solide dans l'absurdité que de s'aventurer sur les mers troubles de la pensée.
" Sur une vaste mer un long exil t'attend ; / enfin tu parviendras aux rives d'Occident, / dans la riche Hespérie, où de ses belles ondes / le Tibre baigne en paix des campagnes fécondes. "
Le héros cependant d'un roc gagne la cime, / et de la mer au loin interroge l'abîme ; / il cherche les vaisseaux, ou leurs débris épars.
Il lui parla de ses yeux, comme ils étaient de beaux océans bleus-foncés et que des pensées et des sentiments y flottaient tels des sirènes ; et il parla de ses sourcils, comme ils étaient de belles montagnes enneigées, et il lui dit beaucoup d'autres choses similaires.
" Fils des dieux ! / Oui, le ciel te prépare un destin glorieux ; / et, dans le cours changeant de sa marche éternelle, / le sort accomplira cette loi solennelle. / Mais il faut, avant tout, t'indiquer les chemins / des mers à qui tu dois confier tes destins. / Je ne m'étendrai point sur tout ce qui te touche ; / à de plus grands secrets Junon ferme la bouche ; / et la Parque, à mes yeux soulevant le rideau, / n'écarte qu'à demi leur terrestre bandeau. "
Le vent tonne en courroux sur les mers qu'il tourmente ; / le flot monte et retombe en montagne écumante ; / l'œil ne distingue plus ni le jour, ni la nuit ; / le pilote éperdu, que la frayeur conduit, / abandonne au hasard sa course vagabonde. / Sur nous le ciel mugit ; sous nos pieds la mer gronde ; / le tonnerre redouble, et de l'air ténébreux / mille horribles éclairs sont les astres affreux.
" Elle-même, tonnant du milieu des nuages, / bouleversa les mers, déchaîna les orages, / dans un noir tourbillon saisit l'infortuné / qui vomissait des feux de son flanc sillonné, / et de son corps lancé sur des roches perçantes / attacha les lambeaux à leurs pointes sanglantes. "
Tout l'irrite à la fois, et sa haine bravée / vit au fond de son cœur profondément gravée. / Aussi, du Latium fermant tous les chemins / aux vaincus épargnés par les Grecs inhumains, / sa haine insatiable en tous lieux suit sa proie, / et défend l'Ausonie aux grands destins de Troie : / l'inflexible destin, secondant son orgueil, / de rivage en rivage, et d'écueil en écueil, / prolongeait leur exil.
S'agitant de fureur dans leurs prisons tremblantes, / ils luttent en grondant, ils s'indignent du frein. / Au haut de son rocher, assis le sceptre en main, / Éole leur commande ; il maîtrise, il tempère / du peuple impétueux l'indocile colère : / s'ils n'étaient retenus, soudain cieux, terre, mers, / devant eux rouleraient emportés dans les airs.
Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "