Examples of using "Slain" in a sentence and their french translations:
- Nombre furent massacrés.
- Nombre ont été massacrés.
- Nombre ont été massacrées.
- Nombre furent massacrées.
- Beaucoup se sont fait massacrer.
- Beaucoup furent massacrés.
- Beaucoup furent massacrées.
Ah! je suis assassiné!
Il est mort à la guerre.
Pendant des siècles, le garçon tué a
Là, le fils de Thétis, sous les murs d'Ilion, / avait traîné trois fois Hector dans la poussière, / et, d'un bras teint de sang, le vendait à son pére.
et vous serez emmené dans les salles d'Odin, Valhöll, les Halls of the Slain, où vous vous régalerez, vous
Aussitôt on s'élance ; / un passage sanglant s'ouvre à la violence ; / à travers les débris, l'ennemi furieux / poursuit rapidement son cours victorieux. / Déjà jusqu'au portique il porte le carnage ; / les premiers des Troyens que rencontre sa rage, / égorgés les premiers, expirent sous ses pas. / Il entre, et le palais se remplit de soldats.
à la main, alors votre âme sera ramassée par les Valkyries, les sélecteurs des tués,
À peine il aperçoit ces soldats inhumains, / une horrible fureur de Corèbe s'empare ; / il s'élance au milieu de la foule barbare.
" Mais vous ne pourrez pas vous fixer sur ses bords, / que, pressés par la faim, dans votre rage extrême / vous n'ayez dévoré jusqu'à vos tables même. "
De leurs amis trompés malheureuses victimes, / Hypanis et Dymas tombent aux noirs abîmes. / Et toi, Panthée ! et toi, ton vêtement divin / et tes propres vertus te protègent en vain !
Il ne les quitte pas, dans leur retraite sombre, / qu'au nombre des vaisseaux il n'égale leur nombre. / Puis il retourne au port, partage son butin.
Mais nos concitoyens, / sous les armes des Grecs ignorant les Troyens, / du temple de Pallas lancent sur notre tête / d'une grêle de traits l'effroyable tempête.
" Arbitre souverain de l'empire des cieux, / toi qui, régnant dans l'air, sur la terre et sur l'onde, / tiens en main et la foudre et les rênes du monde, / qu'a donc fait mon Énée, et qu'ont fait les Troyens ? / Sauvés par mes secours du fer des Argiens, / faut-il, pour leur fermer les chemins d'Ausonie, / que de tout l'univers leur race soit bannie ? "
Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.
Céléno reste seule, et ses cris menaçants / font du haut d'un rocher entendre ces accents : / " Lâches usurpateurs de notre antique terre ! / Quoi ! pour un vil butin vous nous livrez la guerre ! "
Mais périsse celui auprès duquel tu trouveras tes dieux ! En présence de nos frères, examine ce qui t’appartient chez moi, et prends-le. Jacob ne savait pas que Rachel les eût dérobés.
" Que les dieux, s'il en est qui vengent l'innocence, / t'accordent, malheureux ! ta juste récompense ; / toi qui d'un sang chéri souilles mes cheveux blancs, / qui sous les yeux d'un père égorges ses enfants. "
Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !
" Si d'un peuple proscrit rien ne doit échapper, / si, pour que le destin n'aît plus rien à frapper, / tu veux joindre les tiens aux ruines de Troie, / attends : voici Pyrrhus qui vient chercher sa proie – / Pyrrhus qui fait tomber, sous le glaive cruel, / le fils aux yeux du père, et le père à l'autel : / du meurtre de nos rois encore dégouttante, / bientôt de notre sang sa main sera fumante. "
" Mais du moment funeste / qu'Ulysse, de forfaits détestable inventeur, / que le fils de Tydée, affreux profanateur, / osèrent, à travers la garde massacrée, / enlever sur l'autel son image sacrée, / et que leur bras sanglant d'un sacrilège affront / souilla les saints bandeaux qui couronnent son front, / dès lors plus de succès, plus d'espoir ; la déesse / à son triste destin abandonna la Grèce. / Plus d'un signe effrayant signala son courroux. "