Translation of "Cris" in Portuguese

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Examples of using "Cris" in a sentence and their portuguese translations:

Nous avons entendu des cris.

Nós ouvimos gritos.

Des cris dans les ténèbres alertent tout le monde.

Os guinchos na escuridão alertam todos para o perigo.

- Personne n'a entendu les cris de Tom.
- Personne n'a entendu Tom crier.

Ninguém ouviu os gritos de Tom.

Est-ce que vous vous souvenez d'avoir entendu des cris cette nuit-là ?

Vocês se lembram de ter ouvido gritos aquela noite?

S'il ne peut toucher personne et que le son bagel de ces cris est réduit

se ele não pode tocar em ninguém e o bagel desse grito é reduzido

Pendant encore quelque temps, il entendit des explosions, des cris et des lamentations. Puis les cris de lutte se sont calmés pour finir par se taire. Tout était à nouveau silencieux et paisible.

Durante algum tempo ainda ele ouviu explosões, gritos e gemidos. Então os ruídos da luta foram diminuindo, e cessaram. Tudo ficou de novo em silêncio e paz.

Les cris de la fureur et le bruit du carnage / se mêlent dans les airs aux accents du clairon.

À grita dos guerreiros se mistura / o clangor dos clarins.

Des Troyens cependant, fatigués par l'orage, / les cris impatients appellent le rivage, / et pour gagner la rive ils redoublent d'efforts.

Estafados, Eneias e seus homens / querem logo alcançar a mais próxima costa / e ao litoral da Líbia se dirigem.

Tout à coup par des cris dans l'ombre redoublés / au palais de Priam nous sommes appelés. / C'est là que nous trouvons le plus affreux carnage.

Logo um clamor atrai-nos ao palácio / de Príamo, onde a luta é tão feroz / que nos faz esquecer que outras pelejas, / em que perecem tantos, estão sendo / travadas noutros pontos da cidade.

Céléno reste seule, et ses cris menaçants / font du haut d'un rocher entendre ces accents : / " Lâches usurpateurs de notre antique terre ! / Quoi ! pour un vil butin vous nous livrez la guerre ! "

Apenas uma pousa no alto de um rochedo – / Celeno, profetisa da desgraça, / que faz romper do peito estas palavras: / “Filhos de Laomedonte, é pois com guerra / que desejais indenizar-nos da matança / de nossos bois, é a guerra o preço dos novilhos / sacrificados? Pretendeis mesmo as Harpias / sem motivo expulsar do pátrio reino?"

La joie alors redouble ; on s'anime, et les cris / roulent en longs éclats sous ces vastes lambris. / Des plafonds élevés trente lustres descendent ; / ils s'allument, la nuit cède aux feux qu'ils répandent.

Forte rumorejar faz-se ouvir nos salões, / reverberando alegres vozes dos convivas; / lustres acesos pendem dos caixotes / esplêndidos do teto, e das tochas o brilho / tenta igualar do dia a claridade.

Il dit : et la fureur enflamme mes esprits ; / je m'élance à travers le feu, le sang, les cris, / partout où la vengeance, où mon aveugle rage / et d'horribles clameurs appellent mon courage.

As palavras de Panto e a vontade dos deuses / de encontro às chamas e aos combates me arremessam: / da Erínia vingadora aos chamados atendo, / no retinir das armas, no alarido / do tumulto que até no céu ressoa.

Ainsi, parmi les cris, les sanglots et les larmes, / d'un touchant entretien elle goûte les charmes ; / lorsque, de son tyran successeur couronné, / Hélénus de sa cour s'avance environné, / nous reconnaît, nous mène à sa nouvelle Troie, / et mêle à chaque mot une larme de joie.

Tal lamento, tão longo quanto inútil, / ela desfeita em pranto proferia, / quando o bravo soldado Heleno, nobre filho / de Príamo, avançando da cidade, / surge com grande séquito. Exultante / reconhecendo-nos, conduz-nos ao palácio: / de emoção muitas lágrimas derrama / e entrecortada de soluços tem a voz.

Ce grand prince, au milieu de ses fils moissonnés, / terminant sous le fer ses jours infortunés, / d'un père, comme lui, déjà glacé par l'âge / tout à coup réveilla l'attendrissante image : / de mon épouse en pleurs, de mon malheureux fils, / mon amour consterné croit entendre les cris.

Ao ver, petrificado, se exalar, / pela brutal ferida, a alma do velho rei, / vem-me de outro ancião, daquela mesma idade, / ao pensamento a imagem tão querida. / Penso em meu pai, no desamparo de Creúsa, / em nossa casa saqueada, em nosso Ascânio, / exposto, o pequenino, a tamanhos perigos.

" Au milieu des terreurs dont notre ame est troublée, / le roi d'Ithaque, aux yeux de la Grèce assemblée, / traîne à grand bruit Calchas; et ses cris odieux / le pressent de nommer la victime des dieux. / Déjà, lisant de loin dans son ame cruelle, / mes amis annonçaient ma sentence mortelle. "

"Nisso, o itacense, em meio a um vozerio / enorme, a Calcas, o adivinho, traz à cena, / mandando-lhe insistente que interprete / o decreto dos deuses; muita gente / percebeu logo a trama cruel e a quem visava / o arteiro, e, sossegada, o meu fim antevia."

Les astres pâlissaient, l'Aurore matinale / semait de ses rubis la rive orientale, / lorsqu'insensiblement un point noir et douteux / de loin paraît, s'élève et s'agrandit aux yeux. / C'était le Latium. Partout la joie éclate : / " Latium ! Latium ! " crie aussitôt Achate ; / " Latium ! Latium ! " disent nos cris joyeux. / Tous, d'un commun transport, nous saluons ces lieux.

Já as estrelas Aurora afugentara / e começava a enrubescer, quando avistamos / ao longe montes mal distintos e, aflorando / a pouco e pouco, o litoral da Itália. / “Itália!”, explode Acates por primeiro, / e com júbilo “Itália!” os demais clamam, / saudando o encontro.

Ainsi Créuse en pleurs, exhalant ses alarmes, / remplit l'air de ses cris, me baigne de ses larmes, / lorsqu'un soudain prodige épouvante nos cœurs : / aux yeux et dans les bras de ses parents en pleurs, / sur la tête d'Ascagne une flamme rayonne, / tourne autour de son front en brillante couronne, / et, d'un léger éclair l'effleurant mollement, / autour de ses cheveux se joue innocemment.

Do seu pranto o alarido enchia a casa inteira, / quando incrível prodígio aconteceu, / pois em nossa aflição, ao abraçar Ascânio, / súbito vimos-lhe a cabeça coroar-se / de chama tênue, cuja luz inofensiva / lhe beijava os cabelos cacheados, / sustentando-se em torno às delicadas fontes.

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".