Translation of "Prouve" in Portuguese

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Examples of using "Prouve" in a sentence and their portuguese translations:

Prouve-le-moi !

Prove-o para mim.

Voici Göbeklitepe le prouve

Aqui está Göbeklitepe prova isso

L'exception prouve la règle.

A exceção confirma a regra.

Rien ne le prouve.

Não há provas disso.

Ce fait prouve son innocence.

- Este fato prova a inocência dela.
- Este fato prova sua inocência.
- Esse fato prova sua inocência.

- Le fait d'être ici prouve mon innocence.
- Le fait que je suis ici prouve que je suis innocent.

O fato de eu estar aqui prova que eu sou inocente.

Ça ne prouve pas quoi que ce soit.

Isto não prova nada.

- L'exception prouve la règle.
- L'exception confirme la règle.

A exceção confirma a regra.

- Ce fait prouve son innocence.
- Ce fait démontre son innocence.

Este fato demonstra sua inocência.

Il le fera, si le prince héritier prouve qu'il est capable de diriger une armée prête au combat.

Ele o fará se o príncipe herdeiro provar que sabe comandar um exército pronto para a batalha.

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”