Translation of "Tendre" in Portuguese

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Examples of using "Tendre" in a sentence and their portuguese translations:

Le bœuf est tendre.

Esta carne bovina está macia.

Elle a le coeur tendre.

Ela tem um coração terno.

Cette viande est très bonne et tendre.

Esta carne está muito bonita e macia.

Le plomb est un métal tendre, dense, souple et malléable.

O chumbo é um metal macio, denso, flexível e maleável.

La mer nous regardait de son œil tendre et glauque.

O mar voltava com ternura para nós seus olhos glaucos.

Pouvez-vous me tendre le journal qui se trouve sur la table ?

Você pode me passar o jornal de cima da mesa?

Cette viande de bœuf est super tendre. Elle fond littéralement dans la bouche.

Aquela carne está tão macia que derrete na boca.

- Il croit être le seul à savoir tendre des pièges.
- Il croit être le seul à savoir poser des pièges.

Ele pensa que é o único que sabe como montar armadilhas.

- Une conscience tranquille est un oreiller très tendre.
- Avoir bonne conscience permet de dormir tranquille.
- Une conscience sans tache est le plus doux des coussins.

- A consciência tranquila é o melhor travesseiro.
- Consciência tranquila é um bom sonífero.

Pour son fils malheureux pleine d'un tendre effroi, / cette ville suspecte et ce peuple sans foi, / Junon surtout, Junon, qu'un fier courroux dévore, / tout l'alarme, et la nuit sa crainte veille encore.

Teme a corte volúvel, teme os tírios / com sua falsidade proverbial; / dia e noite consome-se em pensar / que a cruel Juno é protetora da cidade.

Mais pour son fils absent tendrement agité, / le héros veut le voir ; il veut qu'en diligence / Achate, secondant sa tendre impatience, / coure chercher Ascagne, et ramène à ses yeux / de l'espoir des Troyens ce gage précieux.

A saudade do filho deixa Eneias / sem sossego; ele manda o diligente Acates / aos navios, com ordem de informar / a Ascânio o que se passa e trazê-lo à cidade: / estão postos naquele infante amado / todos os seus cuidados de bom pai.

Surtout le tendre Énée est touché de leur sort : / au fidèle Gyas, aux valeureux Cloanthe / prodigue ses regrets et sa douleur touchante ; / tantôt il s'attendrit sur le sort de Lycus, / et tantôt de ses pleurs honore Caïcus.

Mais sofre o bom Eneias, que ora chora / do ardente Orontes o destino, ora o de Amico, / e pensa com tristeza nos maus fados / do pobre Lico, do valente Gias / e daquele Cloanto destemido.

Son fils la reconnaît, et, tandis qu'elle fuit, / de ses yeux, de sa voix, longtemps il la poursuit, / et, l'œil baigné de pleurs : " Quoi ! toi-même, ô ma mère ! / tu te plais à tromper un fils qui te révère ! / Ah ! quand pourra ton fils te presser sur son sein, / mes yeux fixer tes yeux, ma main serrer ta main ? / N'abuse plus mes sens ; que le fils le plus tendre / puisse en effet te voir, te parler et t'entendre ! "

Assim que reconhece a mãe, que se afastava, / pressuroso ele a segue e assim lhe fala: / “Ah, como és impiedosa! Por que zombas / tanto, com tais simulações, deste teu filho? / Por que não queres que eu te aperte a mão? / Por que não posso conversar jamais contigo / sinceramente, sem a sombra de um disfarce?”