Translation of "Trésors" in Portuguese

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Examples of using "Trésors" in a sentence and their portuguese translations:

Les trésors de la Perse,

os tesouros da Pérsia,

Rares sont les trésors plus précieux qu'un ami.

Poucos tesouros são tão valiosos como um amigo.

Mon grand-père était un pirate, un chasseur de trésors.

Meu avô foi um pirata, um caçador de tesouros.

Les bibliothèques sont de véritables trésors pour les fervents lecteurs.

As bibliotecas são verdadeiros tesouros para leitores ávidos.

Chaque année, ils sont des centaines à venir récolter ces trésors des profondeurs.

Todos os anos, centenas de pessoas vêm recolher estes tesouros.

N'attache de prix qu'aux trésors que tu pourras emporter avec toi dans le paradis.

Não atribuas um valor senão àqueles tesouros que podes levar contigo para o paraíso.

Ils atterrissent à Lindisfarne, connue sous le nom de Holy Island, où ils massacrent des moines, volent des trésors

Eles pousam em Lindisfarne, conhecida como Ilha Sagrada, onde massacram monges, roubam tesouros

" Nous avons des amis, malgré notre infortune / d'Aceste, des Troyens, l'origine est commune ; / la Sicile, ses ports, ses trésors sont à nous, / et l'ami d'Ilion voudra l'être de vous. "

"Às nossas ordens na Sicília temos terras / aráveis e cidades e um famoso / rei de sangue troiano – Acestes".

" Ne pouvant me laisser ni grandeurs, ni trésors, / sous ce guerrier fameux, né du sang dont je sors, / mon père m'envoya chercher, dès mon jeune âge, / la gloire des combats et le prix du courage. "

"Acompanhando esse guerreiro, a quem me uniam / laços de sangue, ainda adolescente, / por um pai pobre fui mandado a tomar parte / nesta luta entre gregos e troianos."

L'infortuné Priam, dans ses tendres alarmes, / pour ce malheureux fils craignant le sort des armes, / l'avait au roi de Thrace, infidèle allié, / avec de grands trésors en secret envoyé, / pour conserver ses jours et former sa jeunesse.

O infortunado Príamo, anos antes, / vendo estreitar-se o cerco em torno a Troia / e mal confiando nas dardânias armas, / tinha esse filho, Polidoro, ao rei da Trácia / em segredo mandado, a fim de que o educasse, / para isto destinando enorme soma.

Là, sont accumulés tous les trésors de Troie, / et les vases d'or pur, et les tables des dieux, / et des pontifes saints les vêtements pompeux. / Autour de cet amas de dépouilles captives / se pressent les enfants et les mères plaintives.

Ali se amontoavam / os pilhados tesouros dos troianos, / que chegavam até dos templos e santuários / ainda em chamas: mesas de oferenda, / vasos de ouro maciço, paramentos, / ricas alfaias e tapeçarias. / À roda, em longa e dolorosa fila, / apavoradas mães, filhos chorando.

Il se rend d'abord dans une presqu'ile de la Thrace, où régnait Polymnestor, ancien ami et allié des Troyens, et gendre de Priam qui lui avait confié le plus jeune de ses enfants, nommé Polydore, avec une partie de ses trésors.

Ele se dirige primeiro a uma península da Trácia, onde reinava Polimestor, antigo amigo e aliado dos troianos, e genro de Príamo, que lhe confiara o mais novo de seus filhos, Polidoro, com boa parte de seus tesouros.

De sa postérité les rejetons naissants, / dont la foule chérie entourait ses vieux ans, / de ses cinquante fils les couches nuptiales, / ces dépouilles des rois, ces pompes triomphales, / trésors, enfants, grandeurs, tout périt sous ses yeux, / et le glaive détruit ce qu'épargnent les feux...

Aquelas câmaras cinquenta onde morava / a esperança de muitos, muitos netos, / os soberbos portais, ricos lavores / de ouro estrangeiro, espólios conquistados, / tudo são ruínas: onde falha o fogo, / faz-se presente o vandalismo aqueu.

Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !

Pensei: “Não é que ela vai mesmo, sã e salva, / ver Micenas, Esparta, esposo, pais e filhos, / à pátria regressando em triunfo, qual rainha / à frente de um cortejo de mulheres / de Ílio e de toda a Frígia escravizadas! / Depois de Príamo haver sido morto a espada! / Depois de Troia ter ardido em vasto incêndio! / Depois de o litoral dardânio tantas vezes / ter-se embebido em nosso sangue!"

Il y fait joindre encor le sceptre qu'Ilione / reçut du vieux Priam, et sa riche couronne, / qui réunit à l'or l'éclat du diamant ; / enfin, de son collier le superbe ornement, / ces trésors arrondis, ces perles que l'aurore / de l'onde orientale autrefois vit éclore : / il veut ; et son ami court, docile à sa loi, / remplir les vœux d'un père, et les ordres d'un roi.

E mais o cetro que ostentara outrora / Ilíone, de Príamo a mais velha / das filhas, e um colar de pérolas perfeitas, / e uma coroa de ouro cravejada / de pedras raras. O expedito Acates / prontamente aos navios se dirige.

" Didon, pleine d'effroi, hâte soudain sa fuite : / ceux qu'une même horreur, ou que la crainte excite, / attroupés en secret, veulent suivre son sort. / Des vaisseaux étaient prêts à s'éloigner du bord, / leur troupe s'en saisit ; de leur asile avare / on tire les trésors de ce monstre barbare. / Maîtres de sa richesse, et bravant son courroux, / ils voguent. Une femme a conduit ces grands coups. "

"Dido, aterrorizada, logo cuida / de arranjar companheiros para a fuga, / juntando ao seu redor os que tinham mais medo / ou mais ódio do déspota insensível. / De barcos prestes a zarpar se apossam / e, carregando-os de ouro, mar afora / vão levando as riquezas cobiçadas / de Pigmalião: da empresa à frente está a mulher!"

La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.

Já todos os navios se encontravam / na praia em seco; a juventude já tratara / de arranjar casamento e cultivava os campos; / eu definia normas de conduta / e locais onde surgiriam novas casas, / quando uma peste repentina assoladora, / de causar dó, pelo ar mefítico trazida, / homens e plantas e searas contamina, / ceifando vidas e esperanças de colheita.