Translation of "Faisiez" in Spanish

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Examples of using "Faisiez" in a sentence and their spanish translations:

Que faisiez-vous ?

¿Qué estaba haciendo?

- Que faisiez-vous tous les deux ?
- Que faisiez-vous toutes les deux ?
- Que faisiez-vous, vous deux ?

¿Qué estabais haciendo vosotros dos?

- Que faisiez-vous ?
- Qu'avez-vous fait ?

¿Qué estaba haciendo?

Vous faisiez comme si de rien n'était.

- Hacían como si no fuera nada.
- Hacíais como si no fuera nada.
- Hacían como si no fuese nada.
- Hacíais como si no fuese nada.

Que faisiez-vous quand elle est arrivée?

¿Qué estabas haciendo cuando ella vino?

Vous ne saviez juste pas que vous le faisiez.

pero no sabían que estaban practicando.

Que faisiez-vous au juste à ce moment-là ?

¿Qué estabas haciendo en ese momento?

- Que faisiez-vous ?
- Que faisais-tu ?
- Qu'étais-tu en train de faire ?

- ¿Qué estaba haciendo?
- ¿Qué hacías?
- ¿Qué estabas haciendo?

- Je pensais que vous me faisiez confiance.
- Je pensais que tu me faisais confiance.

Creí que confiabas en mí.

- Qu'étiez-vous donc en train de faire à cet instant là ?
- Que faisiez-vous au juste à ce moment-là ?
- Qu'étiez-vous en train de faire à ce moment-là ?
- Que faisiez-vous à cette époque ?

¿Qué estabas haciendo en ese momento?

- Il faisait comme si de rien n'était.
- Elle faisait comme si de rien n'était.
- Vous faisiez comme si de rien n'était.

- Hacía como si no fuera nada.
- Hacía como si no fuese nada.

- Je suis surpris de te voir fumer ; tu ne le faisais pas.
- Je suis surprise de te voir fumer ; tu ne le faisais pas.
- Je suis surpris de vous voir fumer ; vous ne le faisiez pas.
- Je suis surprise de vous voir fumer ; vous ne le faisiez pas.

Me sorprende verte fumar; tú no solías.

- Je sais ce que tu as fait.
- Je sais ce que vous avez fait.
- Je sais ce que tu faisais.
- Je sais ce que vous faisiez.

- Sé lo que hiciste.
- Sé lo que hicisteis.
- Sé lo que has hecho.
- Sé lo que estabas haciendo.

- Je sais ce que tu faisais.
- Je sais ce que vous faisiez.
- Je sais ce que tu étais en train de faire.
- Je sais ce que vous étiez en train de faire.

Sé lo que estabas haciendo.

Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.

No existe tal cosa, en esta etapa de la historia del mundo en los Estados Unidos, algo como prensa independiente. Ustedes lo saben y yo lo sé. No hay uno solo de ustedes que se atreva a escribir sus opiniones honestas y si lo hicieran sabemos de antemano que nunca saldría en la prensa. A mí me pagan cada semana para mantener mis opiniones honestas fuera del periódico con el que tengo relación. A otros de ustedes les pagan salarios similares por cosas similares y cualquiera de ustedes que quisiera ser tan tonto como para escribir opiniones honestas andaría por las calles buscando otro empleo. Si se permitiera que mis opiniones honestas aparecieran en una edición de mis periódicos, antes de veinticuatro horas, mi ocupación ya habría desaparecido. El negocio de los periodistas es destruir la verdad, mentir abiertamente, pervertir, satanizar, haciendo reverencias a los pies de los ricos, y vender a su país y a su raza por su pan de cada día. Ustedes lo saben y yo lo sé, y ¿qué locura es esta de brindar por una prensa independiente? Somos payasos saltarines, ellos mueven los hilos y nosotros bailamos. Nuestros talentos, nuestras posibilidades y nuestras vidas son todas la propiedad de otros hombres. Somos prostitutas intelectuales.