Examples of using "ódio" in a sentence and their french translations:
Des Européens sans haine ni haine
il se compose d'avidité, d'ego, de haine et de haine
Regarder les chrétiens avec haine et haine
ils veulent y prier obstinément, avec haine et haine
Jamais la haine n'éteint les haines en ce monde.
Jamais la haine n'éteint les haines en ce monde. Par l'amour seul les haines sont éteintes. C'est une ancienne loi.
- Pourquoi tant de haine ?
- Pourquoi tant de haine ?
Andreas ressent de la haine envers Angela.
intolérants, haineux et cruels.
Il va juste prendre leur haine et il va
Ses parents me détestent.
Je ne déteste plus Tom.
La haine, c'est l'hiver du cœur.
donc sans avidité ni haine pour ces Grecs
La haine est aveugle, tout comme l'amour.
La haine allume des querelles, l'amour couvre toutes les offenses.
Un mauvais traitement attisa son aversion en haine.
Et en même temps, elle éprouvait une haine terrible contre le plus jeune.
Tremblante pour sa gloire, et pour les Grecs qu'elle aime, / se rappelant encor tous ces fameux combats / que pour ces Grecs chéris avait livrés son bras, / une autre injure parle à son âme indignée.
" Bientôt s'allume entr'eux le flambeau de la haine. / Insatiable d'or, ce monstre furieux, / sans égard pour sa sœur, sans respect pour les dieux, / dans le temple en secret immole sa victime ; / et toutefois longtemps il sut cacher son crime, / et, d'une sœur crédule amusant la douleur, / longtemps d'un faux espoir il entretint son cœur. "
" Didon, pleine d'effroi, hâte soudain sa fuite : / ceux qu'une même horreur, ou que la crainte excite, / attroupés en secret, veulent suivre son sort. / Des vaisseaux étaient prêts à s'éloigner du bord, / leur troupe s'en saisit ; de leur asile avare / on tire les trésors de ce monstre barbare. / Maîtres de sa richesse, et bravant son courroux, / ils voguent. Une femme a conduit ces grands coups. "
" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "