Translation of "Heitor" in French

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Examples of using "Heitor" in a sentence and their french translations:

"Auxílio desse tipo, / defensores da espécie dessas armas, / dispensa a situação; nem mesmo o nosso Heitor, / se ainda vivesse, poderia fazer algo."

" Contre un destin cruel que peut ce faible bras ? / Mon Hector même en vain renaîtrait de sa cendre. "

Ao chegar, ele encontra Andrômaca em um bosque, oferecendo um sacrifício próximo ao túmulo simulado de Heitor, que ela banhava em lágrimas.

En arrivant, il rencontre Andromaque dans un bois, offrant un sacrifice près du tombeau simulé de Hector, qu'elle arrosait de larmes.

Três vezes ao redor dos muros de Ílion, / Heitor fora arrastado por Aquiles, / que, depois, pelo corpo inanimado / concordou receber resgate de ouro.

Là, le fils de Thétis, sous les murs d'Ilion, / avait traîné trois fois Hector dans la poussière, / et, d'un bras teint de sang, le vendait à son pére.

De lá ele foi para o Epiro, onde reinava um filho de Príamo, Heleno, sacerdote de Apolo, e marido de Andrômaca, viúva de Heitor.

De là il se rend en Épire, où régnait Hélénus, fils de Priam, prêtre d' Apollon, et mari d'Andromaque veuve d'Hector.

"Do pai Eneias e de Heitor, seu tio, / os exemplos por certo hão de inspirar-lhe / a alma viril e o brio de dardânio.”

" Apprend-il à marcher sur les pas de son père ? / Vers ses hautes vertus prend-il déjà l'essor ? / Promet-il d'être un jour digne neveu d'Hector ? "

"Ali, passados / trezentos anos sob o império da linhagem / de Heitor, uma vestal princesa – Reia Sílvia, / ou Ília –, grávida de Marte, à luz dará / os gêmeos".

" Là, durant trois cents ans, sur toute l'Italie / règneront vos Troyens, lorsque la jeune Ilie, / mêlant au sang de Mars le noble sang des rois, / sera mère en un jour de deux fils à la fois. "

Enquanto os gregos incendeiam Troia e dizimam seus habitantes, Heitor aparece em sonho a Eneias; informa-lhe que o inimigo tomou a cidade, e o exorta a partir.

Pendant que les Grecs mettent tout à feu et à sang dans la ville, Hector apparaît en songe à Énée ; il lui apprend que l'ennemi a pris la ville, et il l'exhorte à en sortir.

"Ah, quanto a ti, que sorte / te coube após perder tão nobre esposo? / Será que te sorriu fortuna à altura / da Andrômaca de Heitor, ou inda estás com Pirro?”

" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "

Eis me aparece em sonho Heitor, acabrunhado, / debulhando-se em lágrimas ardentes, / de negro pó sanguinolento recoberto, / tal como quando pela biga era arrastado, / a correia a passar-lhe através das feridas / dos pés inchados.

Déjà d'un doux repos je savourais les charmes, / quand je crus voir Hector, les yeux noyés de larmes, / pâle, et tel qu'autrefois sur la terre étendu, / au char d'un fier vainqueur tristement suspendu, / hélas ! et sous les tours de Troie épouvantée / il marquait de son front l'arène ensanglantée.

Ai! quão diferente estava! / Que mudança tremenda se operara / naquele Heitor que um dia vimos ostentando / armas de Aquiles, que de Pátroclo tomara! / Onde o guerreiro que lançava contra as naus / dos inimigos os archotes frígios?

Dieux ! qu'il m'attendrissait ! qu'Hector ressemblait peu / à ce terrible Hector qui dans leur flotte en feu / poussait des ennemis les cohortes tremblantes, / ou d'Achille emportait les dépouilles fumantes !

“És tu mesmo quem vejo, de verdade, / filho de Vênus? Estás vivo e deste mundo / vens trazer-me notícias, ou a luz / que anima os seres te deixou e, neste caso, / podes dizer-me como está Heitor?”

" Est-ce vous, me dit-elle, ou bien une vaine ombre ? / Ah ! si vous habitez dans la demeure sombre, / où mon Hector est-il ? "

"De outra maneira se houve o próprio Aquiles, / meu inimigo, que tua língua mentirosa / chama de pai: teve o pudor de respeitar-me / os direitos e a fé do suplicante; / ao cadáver de Heitor as honras do sepulcro / concedeu, permitindo-me voltar / em paz aos meus domínios.”

" Toi, fils d'Achille ! Non, il ne fut point ton père. / D'un ennemi vaincu respectant la misère, / le meurtrier d'Hector, dans son noble courroux, / ne vit pas sans pitié Priam à ses genoux, / et, pour rendre au tombeau des dépouilles si chères, / il me renvoya libre au palais de mes pères. "

Num bosque à entrada da cidade, à margem / de um novo Xanto, Andrômaca ofertava / funéreos dons, solenes iguarias, / às cinzas do finado esposo e lhe evocava / os manes junto ao túmulo vazio, / de verde relva, e aos dois altares consagrados / aos seus pranteados Astianaz e Heitor.

Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.

“Ó salvação de Troia, esperança mais firme / dos dardânios! Que obstáculos tamanhos / te detiveram, de onde vens, meu caro Heitor? / Em que estado te vemos, já cansados, / tua cidade e teus amigos, de perder / vidas sem conta e aturar tantas aflições! / Que ultraje indigno o belo rosto te estragou? / Que feridas são essas?”

" O vous, l'amour, l'espoir et l'orgueil des Troyens, / Hector, quel dieu vous rend à vos concitoyens ? / Que nous avons souffert de votre longue absence ! / Que nous avons d'Hector imploré la présence ! "

E noite adentro Dido se entretinha / em compridas conversas com Eneias, / bebendo sem saber, a desditosa, / gota a gota o veneno da paixão. / A respeito de Príamo e de Heitor / fazia mil perguntas, indagava / com quais armas Memnon, filho da Aurora, / combatera; que tais os corcéis de Diomedes / e qual era de Aquiles a estatura.

La reine cependant par cent et cent discours / de la rapide nuit veut prolonger le cours : / s'enivrant à longs traits d'un poison qu'elle adore, / elle interroge Énée, et l'interroge encore. / Elle trouve du charme à ses moindres récits ; / et, quand Priam, Hector, Andromaque et son fils, / ont fait couler ses pleurs, quand son âme étonnée, / en connaissant Achille, a frémi pour Énée, / des guerriers moins fameux veut connaître le nom, les coursiers de Rhésus, / les troupes de Memnon.

"Ó filho de Tideu, / ó tu, que és o mais bravo dentre os Gregos! / Pensar agora que morrer não pude / nos pátrios campos de batalha, sob os golpes / de teu potente ataque; onde o valente Heitor / jaz abatido por certeiro dardo / do neto de Éaco; lá, onde tombou / o gigante Sarpédon, e onde o Símois, / pela corrente arrebatados, rola ainda / tantos escudos, capacetes, corpos / de robustos guerreiros imolados!”

" Ô des Grecs le plus brave et le plus formidable, / fils de Tydée, hélas ! sous ton bras redoutable, / dans les champs d'Ilion, les armes à la main, / que n'ais-je pu finir mon malheureux destin ; / dans ces champs où d'Achille Hector devint la proie, / où le grand Sarpédon périt aux yeux de Troie, / où le Xanthe effrayé roule encor dans ses flots / les casques et les dards, et les corps des héros ! "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "