Examples of using "Lábios" in a sentence and their french translations:
Je lis sur les lèvres.
Il avait les lèvres pâles.
- Leurs lèvres se touchèrent.
- Leurs lèvres se touchaient.
Elle a de grosses lèvres.
Il se lécha les lèvres.
- Elle se lécha les lèvres.
- Elle s'est léchée les lèvres.
- Tes lèvres sont comme des roses.
- Vos lèvres sont comme des roses.
- Vos lèvres sont pareilles aux roses.
Elle humecta ses lèvres sèches.
Les mots m'ont échappé des lèvres.
Georgina se mordit les lèvres jusqu'au sang.
Elle se mordit les lèvres et ne répondit pas.
- Ses lèvres ont effleuré les miennes.
- Ses lèvres effleurèrent les miennes.
Elle parle toujours le sourire aux lèvres.
Vous avez de très belles lèvres.
Il met un baiser sur les lèvres, celui qui répond franchement.
- Tes lèvres sont douces comme la surface d'un cactus.
- Tes lèvres sont aussi douces que la surface d'un cactus.
- Tes lèvres sont bleues, tu devrais sortir de l'eau.
- Vos lèvres sont bleues, vous devriez sortir de l'eau.
alors, pour vérifier leur maturité, il presse légèrement chaque figue avec ses lèvres.
Alors il le regarda droit dans les yeux, et soudain la serra dans ses bras et l’embrassa sur les lèvres.
Il dit ; et dans son sein renfermant sa douleur, / la gaîté sur le front, la tristesse dan l'âme, / d'un espoir qu'il n'a pas le héros les enflamme.
" Mon père, m'écriai-je, ah ! que veux-tu de moi ? / Moi, fuir ! moi, te quitter ! ô pensée exécrable ! / L'as-tu pu commander ce crime abominable ? "
À ces mots, souriant à la belle Cypris, / avec cet air serein qui calme la tempête, / vers elle doucement il incline la tête, / sur sa bouche de rose effleure un doux baiser, / et par ces mots flatteurs se plaît à l'apaiser :
Hélénus, méditant ces mystères profonds, / de sa tête sacrée abaisse les festons, / présente à Jupiter un pompeux sacrifice, / implore d'Apollon la bonté protectrice, / me conduit dans son temple, et me dit :
Elle dit : le nectar coule en l'honneur des dieux. / Didon au même instant de ses lèvres l'effleure ; / Bitias le reçoit ; on l'excite, et, sur l'heure / s'abreuvant à longs traits du nectar écumant, / la coupe aux larges bords est vide en un moment. / Le vase d'or circule, avec lui l'allégresse.
Ainsi je m'emportais, lorsque dans la nuit sombre / ma mère, dissipant la noire horreur de l'ombre, / jeune, brillante, enfin telle que dans les cieux / des immortels charmés elle éblouit les yeux, / me retient, et me dit de sa bouche de rose :