Translation of "Neto" in French

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Examples of using "Neto" in a sentence and their french translations:

- Quantos anos tem teu neto?
- Que idade tem seu neto?

Quel âge a votre petit-fils ?

Segurando seu neto ou filho

Tenir votre petit-enfant ou enfant

Meu neto adora jogar videogame.

Mon petit-fils adore jouer aux jeux vidéo.

Meu neto ainda é um bebê.

Mon petit-fils est encore un bébé.

Meu neto tem uma gatinha branca.

Mon petit-fils a un chaton blanc.

Ele é neto de Alp Er Tunga

Il est le petit-fils d'Alp Er Tunga

O idoso acompanha-se sempre de seu neto.

Le vieil homme est toujours accompagné de son petit-fils.

Este menino é o filho de meu neto e o neto de meu filho. Ele é, portanto, meu bisneto.

Ce garçon est le fils de mon petit-fils et le petit-fils de mon fils. Il est donc mon arrière-petit-fils.

Meu neto tem sete anos. Eu o amo muito.

Mon petit-fils a sept ans. Je l'aime beaucoup.

Você não é o cara, o cara também compartilha fotos do neto

Vous n'êtes pas le seul, Face partage également des photos du petit-fils

Meu neto tem uma gatinha. A gatinha tem pelo branco e preto e olhos esverdeados. Meu neto adora brincar com ela. Ele lhe deu o nome de Vivi. Vivi é linda. É o nosso animal de estimação.

Mon petit-fils a une petite chatte. La chatte est blanche et noire et ses yeux sont verdâtres. Mon petit-fils aime jouer avec elle. Il l'a nommée Vivi. Vivi est belle. C'est notre animal de compagnie.

Meu neto brasileiro e sua esposa russa moram no Brasil. Eles têm um filho e uma filha – meus bisnetos.

Mon petit-fils brésilien et sa femme russe vivent au Brésil. Ils ont un fils et une fille – mes arrière-petits-enfants.

Aos ouvidos nos chega uma notícia incrível: / que de Príamo um filho, Heleno, era senhor / daquelas terras gregas; sucedera / no tálamo e no trono ao neto de Éaco, / Pirro, Andrômaca tendo assim de novo / esposado um de seus compatriotas.

Là, d'incroyables bruits, jusqu'à nous parvenus, / étonnent notre oreille : on nous dit qu'Hélénus, / enfant du dernier roi de la triste Pergame, / possède de Pyrrhus et le sceptre et la femme ; / qu'il commande à des Grecs, et qu'un dernier lien / met la veuve d'Hector dans les bras d'un Troyen.

“Pátrios numes, afinal, / aceito a indicação do vosso augúrio; / nada mais me detém, parto em seguida. / Protegei-me a família, o neto protegei-me; / Troia conta com vossa potestade. / Agora, filho, não me nego a te seguir; / de bom grado serei teu companheiro.”

" Dieux paternels ! dit-il, c'en est fait, je me rends ; / protégez ma famille, et sauvez mes enfants ! / J'accepte avec transport ce présage céleste. / Dieux puissants ! d'Ilion vous sauverez le reste. / Viens, mon fils, je te suis. "

Um velho disse a seu neto, "Meu filho, há uma batalha entre dois lobos dentro de todos nós. Um é mau. Ele é raiva, ciúme, ganância, ressentimento, inferioridade, mentiras e ego. O outro é bom. Ele é alegria, paz, amor, esperança, humildade, gentileza, empatia e verdade." O menino pensou a respeito e perguntou, "Avô, qual lobo vence?" O velho respondeu tranquilamente, "Aquele que você alimentar."

Un vieil homme conta à son petit-fils : « Mon garçon, en nous tous a lieu une bataille entre deux loups. L'un est malfaisant. Il n'est que colère, jalousie, avidité, ressentiment, infériorité, mensonge et amour-propre. L'autre, lui, est bon. Il est joie, paix, amour, espérance, humilité, gentillesse, empathie et vérité. » Le garçon songea puis demanda : « Grand-père, lequel des deux loups triomphe ? » Et le vieil homme doucement de répondre : « Celui que tu nourris. »

"Ó filho de Tideu, / ó tu, que és o mais bravo dentre os Gregos! / Pensar agora que morrer não pude / nos pátrios campos de batalha, sob os golpes / de teu potente ataque; onde o valente Heitor / jaz abatido por certeiro dardo / do neto de Éaco; lá, onde tombou / o gigante Sarpédon, e onde o Símois, / pela corrente arrebatados, rola ainda / tantos escudos, capacetes, corpos / de robustos guerreiros imolados!”

" Ô des Grecs le plus brave et le plus formidable, / fils de Tydée, hélas ! sous ton bras redoutable, / dans les champs d'Ilion, les armes à la main, / que n'ais-je pu finir mon malheureux destin ; / dans ces champs où d'Achille Hector devint la proie, / où le grand Sarpédon périt aux yeux de Troie, / où le Xanthe effrayé roule encor dans ses flots / les casques et les dards, et les corps des héros ! "