Examples of using "Shade" in a sentence and their french translations:
Les arbres procurent de l'ombre.
Asseyons-nous à l'ombre.
Un vieil arbre fournit de l'ombre.
Allons nous asseoir à l'ombre.
Stationnez la voiture à l'ombre.
La nuance correspond parfaitement.
et je porte et j'abrite un fruit
Cependant, la teinte ne correspondait pas nécessairement à
Faisons une pause à l'ombre.
Nous nous sommes reposés à l'ombre.
Asseyons-nous là où il y a de l'ombre.
Le temps est aujourd'hui un peu plus clément.
tantôt à l'ombre, tantôt au soleil.
La température dépasse les 30 degrés à l'ombre.
- Je me suis reposé à l'ombre d'un arbre.
- Je me suis reposée à l'ombre d'un arbre.
Vous recherchez de l'ombre, pas seulement celle des bâtiments.
Ils se sont assis à l'ombre de ce grand arbre.
Nous nous sommes abrités à l'ombre d'un arbre.
Asseyons-nous à l'ombre de cet arbre.
Tom se repose à l'ombre d'un arbre.
Tom s'endormit à l'ombre d'une paillote.
On pose ça, et on va se chercher de l'ombre.
Mais surtout, il n'y a pas d'ombre, de refroidissement par évaporation.
Le soleil tape et il n'y a pas d'ombre en vue.
J'étais assis sur la rive, à l'ombre d'un laurier-rose.
- Nous plantâmes notre tente à l'ombre d'un grand arbre.
- Nous avons planté notre tente à l'ombre d'un grand arbre.
- Nous dressâmes notre tente à l'ombre d'un grand arbre.
Un vieil homme se reposait à l'ombre de l'arbre.
Le jour, les éléphants passent la plupart du temps à se nourrir à l'ombre.
L'homme mince se reposa à l'ombre de la chapelle.
Nous dressâmes notre tente à l'ombre d'un grand arbre.
Un cercle que l'on remplit pour obtenir une expression choquée.
Les huit yeux minuscules de la tarentule frisée ne distinguent guère que l'ombre et la lumière.
Il faisait si chaud que je suis allé à l'ombre et j'ai pris une sieste.
Les violettes et les lavandes ne nécessitent pas beaucoup de soleil, elles poussent mieux à l'ombre.
Sinon, on peut se reposer à l'ombre d'un de ces gros rochers
ottomanes se félicitèrent d'échapper à la brûlure du soleil, mais dans l'ombre de la forêt de Vlasia
Tous les moutons étaient entassés à l'ombre du seul arbre de l'enclos.
Ils resteront bien au frais, à l'ombre, enterrés dans la boue.
Ce qu'on veut, c'est trouver un coin à l'ombre, à l'abri du soleil.
Ne crache pas dans un puits, car tu as besoin de boire.
Aujourd'hui, il fait très chaud; il fait 45 °C à l'ombre.
Plus loin, et sous l'abri d'une roche profonde, / de la voûte des bois partout environnés, / déjà nous reprenions nos mets abandonnés, / déjà le feu brûlait sur l'autel de nos Lares.
Mais Polydore attend les suprêmes honneurs : / on relève sa tombe, on l'arrose de pleurs ; / les autels sont parés de festons funéraires ; / le cyprès joint son deuil au deuil de ces mystères ; / des femmes d'Ilion les cheveux sont épars ; / le lait, le sang sacré coulent de toutes parts ; / nous renfermons son âme en son asile sombre, / et d'un dernier adieu nous saluons son ombre.
Regardez, on peut s'abriter sous ce rocher. C'est tout ce qu'il nous faut. C'est suffisant pour se cacher du soleil.
Vénus sourit, et cueillant des pavots / verse à son cher Ascagne un paisible repos, / le berce dans ses bras, l'enlève, et le dépose / sur la verte Idalie, où le myrte, où la rose / d'une haleine odorante exhalant les vapeurs, / l'environnent d'ombrage et le couvrent de fleurs.
Mes mains les destinaient aux autels de mes dieux, / lorsqu'un soudain prodige est offert à mes yeux.
Et serais-je pomme un peu dorée, pour que tu me cueilles, glissant par un tel froid, tandis que le soleil et l'ombre, ta robe d'herbe tachetée, ta robe d'herbe et tes cheveux d'or filés.
Trois fois j'étends les bras, et comme une vapeur / trois fois a disparu le fantôme trompeur.
Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.
Un bois pompeux s'élève au milieu de Carthage ; / il reçut ses enfants préservés du naufrage. / Là, la bêche en fouillant découvrit à leurs yeux / la tête d'un coursier, symbole belliqueux ; / ce signe fut pour eux le signe de la gloire, / et Junon à ce gage attacha la victoire.
De temps à autre, elle sombrait dans une sorte de rêverie et, lorsqu’elle était totalement seule, elle raisonnait ainsi : « je suis souffrante et pourtant j’en ignore la cause. Je souffre, bien que je n’aie nulle blessure. Je me sens affligée et je n’ai pourtant égaré aucun de mes moutons. Je brûle, tout en me tenant assise à l’ombre. Combien de fois les ronces m’ont-elles écorché la peau sans que je ne pleure ? Combien d’abeilles m’ont-elles piquée de leurs dards et n’étais-je si vite guérie ? Ainsi ce qui m’a maintenant blessée au cœur doit être plus vif que tout cela ! »