Examples of using "Thee" in a sentence and their french translations:
Je te tutoie, toi traître !
Je te ferai fructifier prodigieusement ; je ferai de toi des peuples, et des rois seront tes descendants.
Et je maintiendrai mon alliance avec toi, et je te multiplierai à l’infini.
Cette alliance, établie entre moi et entre toi et ta postérité dernière, je l’érigerai en alliance perpétuelle, étant pour toi un Dieu comme pour ta postérité après toi.
Alors je te ferai le don de mes amours.
Sous le pommier je t'ai réveillée.
De leurs amis trompés malheureuses victimes, / Hypanis et Dymas tombent aux noirs abîmes. / Et toi, Panthée ! et toi, ton vêtement divin / et tes propres vertus te protègent en vain !
" Fuis ; calme un vain courroux : fuis, c'en est fait. Ta mère / va protéger tes pas, et te rendre à ton père. "
Ô qu'est-ce qui peut te sauver, chevalier en armes, seul et errant hagard ?
Que Dieu t'aide, mon frère, puisque tu nous aidas aussi nous deux.
Abraham dit au Seigneur : Puisse Ismaël, à tes yeux, mériter de vivre !
- Dalila dit à Samson : « Dis-moi, je te prie, d'où vient ta grande force. »
- Et Dalila dit à Samson : « Dis-moi, je te prie, en quoi consiste ta grande force ? »
" Mais vous, quelle tempête ou quelle erreur nouvelle / vous porta de si loin sur ces bords étrangers ? "
- Sincèrement, je ne vous aime pas avec mes yeux car ils remarquent en vous un millier d'erreurs, mais c'est mon cœur qui aime ce que eux dédaignent, qui en dépit de la vue est ravi d'adorer.
- En vérité, mon amour ne passe pas par mes yeux, car ils voient en toi mille erreurs, mais par mon cœur, qui aime ce qu'ils méprisent, qui, en dépit d'eux, est heureux d'adorer.
" Cours détromper Anchise, et guide les Troyens / des rivages de Crète aux bords ausoniens. "
Maintenant, tiens, concluons une alliance, moi et toi, ce sera une alliance entre nous deux.
Comment vas-tu ?
Dieu dit à Abraham : Pour toi, sois fidèle à mon alliance, toi et ta postérité après toi dans tous les âges.
Jacob répondit, et dit à Laban : J’avais de la crainte à la pensée que tu m’enlèverais peut-être tes filles.
Alors la sœur de l'enfant dit à la fille de Pharaon : Veux-tu que j'aille te chercher une nourrice parmi les femmes des Hébreux, pour allaiter cet enfant ?
" Là, satisfait, époux de la fille des rois, / un empire puissant fleurira sous tes lois. / Cesse de t'alarmer pour celle que tu pleures. "
Pour mon alliance, je la confirmerai sur Isaac, que Sara t’enfantera à pareille époque, l’année prochaine.
Où est parti ton bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? Où s'est tourné ton bien-aimé, que nous le cherchions avec toi ?
Alors l’Éternel dit à Jacob : Retourne au pays de tes pères et dans ton lieu de naissance, et je serai avec toi.
" Son empire est au fond de vos roches profondes : / qu'il y tienne sa cour, et, roi de vos cachots, / que votre Éole apprenne à respecter mes flots. "
Toute la richesse que Dieu a ôtée à notre père appartient à nous et à nos enfants. Fais maintenant tout ce que Dieu t’a dit.
Abram tomba la face contre terre, et Dieu lui parla ainsi : « Moi, voici mon alliance avec toi : tu deviendras père d’une multitude de nations. On ne te nommera plus Abram, mais ton nom sera Abraham, car je te fais père d’une multitude de nations.
Ces vingt ans que j’ai été chez toi, tes brebis, ni tes chèvres n’ont avorté et les béliers de ton troupeau, je n’en ai point mangé. La bête mise en pièces, je ne te l’ai point rapportée ; c’est moi qui en souffrais le dommage, tu me la faisais payer, qu’elle eût été prise le jour, qu’elle eût été ravie la nuit.
" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "
" Mon père, m'écriai-je, ah ! que veux-tu de moi ? / Moi, fuir ! moi, te quitter ! ô pensée exécrable ! / L'as-tu pu commander ce crime abominable ? "
" O vous, l'amour, l'espoir et l'orgueil des Troyens, / Hector, quel dieu vous rend à vos concitoyens ? / Que nous avons souffert de votre longue absence ! / Que nous avons d'Hector imploré la présence ! "
" Que les dieux, s'il en est qui vengent l'innocence, / t'accordent, malheureux ! ta juste récompense ; / toi qui d'un sang chéri souilles mes cheveux blancs, / qui sous les yeux d'un père égorges ses enfants. "
Laban dit à Jacob : "Tu vois ce monceau, tu vois ce monument que j’ai posé entre nous deux ; soit témoin ce monceau, soit témoin cette pierre, que je ne dépasserai point de ton côté ce monceau, que tu ne dépasseras point de mon côté ce monceau ni cette pierre, dans des vues mauvaises.
" Votre Ascagne vit-il après tant de dangers ? "
Dès qu'elle voit Priam vainement furieux, / moins couvert qu'accablé d'une armure inutile : / " Quelle aveugle fureur, quel courage stérile ! / lui crie Hécube en pleurs. Où courez-vous ? Hélas ! "
Et je donnerai à toi et à ta postérité la terre de tes pérégrinations, toute la terre de Canaan, comme possession indéfinie ; et je serai pour eux un Dieu tutélaire.
Pourquoi as-tu pris la fuite en cachette, m’as-tu trompé, et ne m’as-tu point averti ? Je t’aurais laissé partir au milieu des réjouissances et des chants, au son du tambourin et de la harpe.
J’ai passé ainsi vingt années dans ta maison ! Je t’ai servi quatorze ans pour tes deux filles et six ans pour ton menu bétail et tu as changé dix fois mon salaire.
Je la bénirai, en te donnant, par elle aussi, un fils ; je la bénirai, en ce qu’elle produira des nations et que des chefs de peuples naîtront d’elle.
Certainement, si tu agis bien, tu relèveras ton visage, et si tu agis mal, le péché se couche à la porte, et ses désirs se portent vers toi: mais toi, domine sur lui.
Adressant donc sa voix à l'aîné des Amours : / " O toi, l'honneur, l'appui, le charme de mes jours, / enfant vainqueur des dieux, souverain de la terre, / de que la flèche insulte aux flèches du tonnerre. "
Quant à Ismaël, je t’ai exaucé : oui, je l’ai béni ; je le ferai fructifier et multiplier à l’infini ; il engendra douze princes, et je le ferai devenir une grande nation.
"Enfin, je ne veux rien perdre de votre gloire : / reprenez de plus haut cette importante histoire ; / contez-moi d'Ilion les terribles assauts, / et les pièges des Grecs, et leurs mille vaisseaux, / et vos longues erreurs sur la terre et sur l'onde ; / car le soleil sept fois a fait le tour du monde, / depuis que, poursuivi par un sort odieux, / votre noble infortune a fatigué les dieux. "
Le Seigneur répondit : Certes, Sara, ton épouse, te donnera un fils, et tu le nommeras Isaac. Je maintiendrai mon pacte avec lui, comme pacte perpétuel à l’égard de sa descendance.
Si le Dieu de mon père, le Dieu d’Abraham et celui que révère Isaac ne m’était venu en aide, certes, actuellement tu m’aurais laissé partir les mains vides. Dieu a vu mon humiliation et le labeur de mes mains et il a prononcé hier.
" Apprenez donc de moi, fils de Laomédon, / ce qu'apprit Jupiter au divin Apollon, / ce qu'Apollon m'apprit, ce que je vous déclare, / moi, la terrible sœur des filles du Tartare. "
" Mais, si ce doux espoir est ravi sans ressource, / ô père des Troyens ! si les flots ennemis / ont englouti tes jours et les jours de ton fils, / du moins que nous allions chercher dans la Sicile / les faveurs d'un bon prince et d'un climat fertile ! "
"Pars, emmène les tiens de ces funestes lieux, / du triomphe des Grecs épargne-leur l'insulte : / Ilion te remet le dépôt de leur culte. / Cherche-leur un asile, et qu'au-delà des mers / leur nouvelle cité commande à l'univers ! "
" Douze jeunes beautés ornent ma cour brillante ; / Déiope, la plus jeune et la plus séduisante, / unie à vos destins par les nœuds les plus doux, / acquittera les soins que j'exige de vous ; / et d'Éole à jamais la compagne fidèle / un jour lui donnera des enfants dignes d'elle. "
Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "
" Déjà pour vous le ciel m'annonce un sort plus doux ; / et si, par mes parents instruite dès l'enfance, / des augures sacrés j'ai quelque connaissance, / votre flotte est sauvée, et vos amis perdus / a vos embrassements seront bientôt rendus. "
" C'est nous qui, compagnons de périls, de travaux, / suivîmes ton exil, partageâmes tes maux ; / c'est nous qui, terminant ta course vagabonde, / à ta race immortelle asservirons le monde. / Ose donc mériter ta future splendeur. "
Laban avait dit : "Ce monceau est un témoin entre nous deux dès aujourd’hui." De là on énonça son nom Galed ; et aussi Miçpa, parce qu’il dit : "L’Éternel sera présent entre nous deux, alors que nous serons cachés l’un à l’autre.
Tu ne m’as pas permis d’embrasser mes fils et mes filles ! C’est en insensé que tu as agi. Ma main est assez forte pour vous faire du mal ; mais le Dieu de votre père m’a dit hier : Garde-toi de parler à Jacob ni en bien ni en mal !
Laban fouilla toute la tente, et ne trouva rien. Elle dit à son père : Que mon seigneur ne se fâche point, si je ne puis me lever devant toi, car j’ai ce qui est ordinaire aux femmes. Il chercha, et ne trouva point les théraphim.
" Qu'as-tu fait de ton père appesanti par l'âge, / d'une épouse, d'un fils, entourés de carnage, / entourés d'ennemis, et qui, sans mon secours, / par la flamme ou le fer auraient fini leurs jours ? "
Voici le pacte que vous observerez, qui est entre moi et vous, jusqu’à ta dernière postérité : circoncire tout mâle d’entre vous. Vous retrancherez la chair de votre excroissance, et ce sera un symbole d’alliance entre moi et vous.
Il ne me répond rien. Puis, d'un ton plein d'effroi, / poussant un long soupir : " Fuis, dit-il, sauve-toi ; / sauve-toi, fils des dieux ; contre nous tout conspire : / il fut un Ilion, il fut un grand empire. / Tout espoir est perdu ; fuis : tes vaillantes mains / ont fait assez pour Troie, assez pour nos destins. / Notre règne est fini, notre heure est arrivée. "
Lorsque levant ses yeux par l'espoir animés, / tendant au ciel ses mains : " Jupiter ! dit mon père, / si les pleurs quelquefois désarment ta colère, / lis dans nos cœurs, hélas ! et, s'ils sont vertueux, / confirme, par pitié, ces présages heureux ! "
Et maintenant, mon fils, sois docile à ma voix, sur ce que je vais t’ordonner : va au menu bétail et prends moi deux beaux chevreaux et j’en ferai pour ton père un ragoût tel qu’il l’aime. Tu le présenteras à ton père et il mangera ; de sorte qu’il te bénira avant de mourir.
Et l’ange de Dieu me dit en songe : Jacob ! Je répondis : Me voici ! Il dit : Lève les yeux, et regarde : tous les boucs qui couvrent les brebis sont rayés, tachetés et marquetés ; car j’ai vu tout ce que te fait Laban.
Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "
" Palamède... A ce nom ma douleur se réveille, / et quelquefois, sans doute, il frappa votre oreille ; / cent fois la renommée a redit ses exploits... / seul contre cette guerre il éleva la voix ; / faussement accusé d'une trame secrète, / il périt, et la Grèce aujourd'hui le regrette. "
Jacob s’irrita, et querella Laban. Il reprit la parole, et lui dit : Quel est mon crime, quel est mon péché, que tu me poursuives avec tant d’ardeur ? Quand tu as fouillé tous mes effets, qu’as-tu trouvé des effets de ta maison ? Produis-le ici devant mes frères et tes frères, et qu’ils prononcent entre nous deux.
" Et toi, pour cette nuit, quittant tes traits divins, / enfant ainsi que lui, prends ses traits enfantins ; / et lorsque, dans le feu d'une fête brillante, / qu'échauffera du vin la vapeur enivrante, / Didon va t'imprimer des baisers pleins d'ardeur, / mon fils, glisse en secret ton poison dans son cœur. "
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "
" Fils des dieux ! / Oui, le ciel te prépare un destin glorieux ; / et, dans le cours changeant de sa marche éternelle, / le sort accomplira cette loi solennelle. / Mais il faut, avant tout, t'indiquer les chemins / des mers à qui tu dois confier tes destins. / Je ne m'étendrai point sur tout ce qui te touche ; / à de plus grands secrets Junon ferme la bouche ; / et la Parque, à mes yeux soulevant le rideau, / n'écarte qu'à demi leur terrestre bandeau. "
" Reine, répond Éole, ordonnez, j'obéis : / à la table des dieux par vous je suis assis ; / par vous j'ai la faveur du souverain du monde, / et je commande en maître aux puissances de l'onde. "
Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "