Translation of "Remparts" in Portuguese

0.004 sec.

Examples of using "Remparts" in a sentence and their portuguese translations:

" Avec un feint effroi, qui colorait son piège, / le perfide poursuit : " Les Grecs, las d'un long siège, / souvent ont voulu fuir ces remparts ennemis. " "

"E todo trêmulo prossegue ele contando / o que o seu falso peito vai ditando: / 'Da prolongada guerra já cansados, / os gregos muitas vezes desejaram / o cerco suspender, deixando Troia.'"

" Assis, après sa mort, sur le trône d'Énée, / Ascagne trente fois verra naître l'année, / et, de Lavinium aux remparts des Albains, / portera le premier le berceau des Romains. "

"E Ascânio, o filho dele, a quem se dá / agora o nome de Iulo (era chamado / Ilo, enquanto Ílion como reino subsistiu), / verá em seu reinado decorrerem, / com o suceder dos meses, trinta longos anos; / terá então mudado de Lavínio / para Alba Longa, de muralhas reforçadas, / a sede do poder".

" De la vaste cité qui frappe vos regards / les enfants d'Agénor ont bâti les remparts ; / ces champs sont la Libye ; une race guerrière / contre ses ennemis en défend la frontière. "

"Isto que vês são púnicos domínios, / cidade de Agenor, nação fenícia, / mas o país limítrofe é dos líbios, / uma raça indomável e guerreira".

" Non, je ne change point ; mes volontés suprêmes, / ma fille, en tous les temps demeureront les mêmes. / Vous verrez s'élever ces remparts tant promis ; / dans le palais des cieux vous verrez votre fils. "

“Nada receies, Citereia, que o destino / dos teus inalterável permanece; / conforme prometido, tu verás / os muros da cidade de Lavínio / e, remontado à glória, levarás / até às estrelas o teu nobre Eneias; / nada me fez mudar de parecer".

" Entends-moi donc : ce fils, si cher à mon amour, / Ascagne, par son père attendu dans ce jour, / se prépare à porter aux remparts de Carthage / les restes précieux des feux et du naufrage. "

"Agora escuta o que de ti pretendo: / O menino, que um dia será rei / e é meu maior desvelo, a chamado do pai / extremoso a Cartago se encaminha, / à rainha levando alguns presentes, / bens do troiano incêndio e do mar salvos".

Le héros, étonné, voit cet immense ouvrage ; / il admire ces tours, ces ports et ces remparts, / le bruit tumultueux des travaux et des arts ; / des chaumes ont fait place à ce séjour superbe, / la colonne s'élève aux lieux où croissait l'herbe.

Eneias / dali admira a obra imponente num local / onde há pouco de nômades apenas / uma aldeia existia; admira as portas / e a animação das ruas bem calçadas.

À l'opposé du Tibre et des champs d'Ausonie, / des riches Tyriens heureuse colonie, / Carthage élève aux cieux ses superbes remparts, / séjour de la fortune et le temple des arts. / Aucun lieu pour Junon n'eut jamais tant de charmes : / Samos lui plaisait moins.

Existiu no passado uma cidade, / colônia tíria, no ultramar, defronte à Itália / e à dupla foz do Tibre: era Cartago, / empório próspero e potência militar, / na guerra sempre uma temível inimiga. / Dizem que Juno a preferia a todas / as outras terras, inclusive a própria Samos.

Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts, / son antique palais forcé de toutes parts, / l'ennemi sous ses yeux, d'une armure impuissante / ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, / prend un glaive à son bras dès longtemps étranger, / et s'apprête à mourir plutôt qu'à se venger.

Vendo a cidade capturada, as portas / do palácio arrombadas e seu lar / pelo inimigo profanado, o pobre ancião / põe sobre os ombros trêmulos o fardo / inútil da armadura aposentada / havia tanto tempo e, em vão cingindo a espada, / caminha para o meio da caterva / celerada, caminha para a morte.

" Sinon vainqueur insulte aux désastres de Troie. / Triomphant au milieu de nos murs enflammés, / un monstre affreux vomit des bataillons armés : / et, tandis que ses flancs enfantent leurs cohortes, / des milliers d'ennemis, se pressant sous nos portes, / fondent sur nos remparts à flots plus débordés / qu'ils n'ont jamais paru dans nos champs inondés. "

"No coração da cidadela estacionado, / o monstro equino sem parar despeja / homens armados, e Sinon, por toda a parte, / vencedor zombeteiro, ateia incêndios. / Milhares entram pelas portas bipatentes / (jamais da grã Micenas vieram tantos)."

Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée / marqua par cent malheurs sa mort infortunée, / il périt, en voyant de ses derniers regards / brûler son Ilion et tomber ses remparts. / Ce potentat, jadis si grand, si vénérable, / n'est plus qu'un tronc sanglant, qu'un débris déplorable, / dans la foule des morts tristement confondu, / hélas ! et sans honneur sur le sable étendu.

Assim se consumou de Príamo o destino; / este foi o final – morrer, vendo arder Troia / e reduzir-se Pérgamo a destroços – / que a sorte reservou a quem se destacava / até há pouco dentre tantos soberanos / de toda Ásia. Seu corpo numa praia / foi sem honra nenhuma abandonado: / um tronco informe e uma cabeça decepada.

Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !

Pensei: “Não é que ela vai mesmo, sã e salva, / ver Micenas, Esparta, esposo, pais e filhos, / à pátria regressando em triunfo, qual rainha / à frente de um cortejo de mulheres / de Ílio e de toda a Frígia escravizadas! / Depois de Príamo haver sido morto a espada! / Depois de Troia ter ardido em vasto incêndio! / Depois de o litoral dardânio tantas vezes / ter-se embebido em nosso sangue!"

Elle baisse les yeux ; et, s'exprimant à peine : / " Que je te porte envie, heureuse Polyxène ! / Ton cœur ne connut pas les douceurs de l'hymen ; / mais du moins tu péris sous les remparts de Troie, / mais les arrêts du sort qui choisissait sa proie / n'ont pas nommé ton maître, et, captivant ton cœur, / mis la fille des rois aux bras de son vainqueur. "

Cabisbaixa e em voz débil me responde: / “De todas nós a mais feliz foi Polixena, / filha de Príamo, imolada sobre a campa / de Aquiles, junto aos muros elevados / de Troia, sem assim ter conhecido / a prova degradante do sorteio, / nem cativa ter tido de habitar / a alcova senhoril do indigno vencedor."

Des bords où devant nous la terre au loin recule, / Tarente offre à nos yeux les murs sacrés d'Hercule. / Junon de Lacinie et son temple fameux / règnent à l'autre bord sur les flots écumeux. / Bientôt, se dégageant des vapeurs qui les couvrent, / de Caulon à nos yeux les remparts se découvrent ; / l'horrible Scylacée, effroi des matelots, / loin de son triple écueil nous voit fuir sur les flots.

Avistamos o golfo de Tarento, / a cujas margens Hércules fundou, / se é verdadeira a tradição, a vila / que deu nome à baía; à frente surgem / o templo de Lacínia, as torres de Caulônia / e o Cilaceu, que despedaça embarcações.

L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.

Logo que chega a primavera, Anquises manda / largar as velas aos caprichos do destino. / Então com lágrimas nos olhos vou deixando / o porto, o pátrio litoral, toda a planície / onde um dia foi Troia. Ao mar me entrego, / qual exilado, com meu filho, os companheiros, / nossos penates, nossos grandes deuses.

Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "

Vendo-os assim reunidos e dispostos / a lutar, lhes falei: “Bravíssimos guerreiros! / Bem podeis ver qual é a nossa situação: / todos os deuses que este império sustentavam / já nos deixaram, desertando de seus templos, / de seus altares; socorreis em vão / uma cidade em chamas. Se estais mesmo / determinados a seguir alguém / pronto ao máximo ousar, então que nos lancemos / ao mais aceso da refrega e pereçamos."

On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.

Colhem-se as velas e se aproa à costa. / Tendo a forma dum arco recortado / no litoral a leste, o ancoradouro / é defendido à entrada por penedos / escarpados que estendem mar adentro / dois altos braços, contra os quais a salsa espuma / se arremessa; da praia está a fugir o templo.