Translation of "Tyran" in Portuguese

0.003 sec.

Examples of using "Tyran" in a sentence and their portuguese translations:

Le temps est un tyran.

O tempo é um tirano.

Il est temps pour le faux tyran

é hora do valentão falso

Le tyran est mort, le jour de la liberté se lève.

O tirano morreu; nasce o dia da liberdade.

« Le Pédant et le Tyran » est-il un poème comique ou tragique ?

O Pedante e o Tirano é um poema cômico ou trágico?

Ainsi, parmi les cris, les sanglots et les larmes, / d'un touchant entretien elle goûte les charmes ; / lorsque, de son tyran successeur couronné, / Hélénus de sa cour s'avance environné, / nous reconnaît, nous mène à sa nouvelle Troie, / et mêle à chaque mot une larme de joie.

Tal lamento, tão longo quanto inútil, / ela desfeita em pranto proferia, / quando o bravo soldado Heleno, nobre filho / de Príamo, avançando da cidade, / surge com grande séquito. Exultante / reconhecendo-nos, conduz-nos ao palácio: / de emoção muitas lágrimas derrama / e entrecortada de soluços tem a voz.

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”