Translation of "Soberana" in French

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Examples of using "Soberana" in a sentence and their french translations:

A rainha Vitória foi a soberana da Grã-Bretanha.

La reine Victoria fut souveraine de Grande-Bretagne.

A velha soberana das cidades / da Ásia está vindo abaixo; as ruas, casas / e as soleiras dos templos consagrados / enchem-se de cadáveres sem conta.

Tu tombes, ô cité si longtemps florissante, / de tant de nations souveraine puissante ! / Les morts jonchent en foule et les profanes lieux, / et des temples sacrés le seuil religieux.

Não é verdade que a igualdade seja uma lei da natureza. A natureza não faz nada assim, sua lei soberana é a subordinação e a dependência.

Il est faux que l'égalité soit une loi de la nature. La nature n'a rien fait d'égal, sa loi souveraine est la subordination et la dépendance.

Ele, com sua inesperada aparição / a todos surpreendendo, se dirige / à soberana e fala: “Eis aqui em pessoa / aquele a quem buscais – Eneias, o troiano, / salvo do mar da Líbia".

Sa présence imprévue a frappé tous les yeux. / " Celui que vous cherchez, dont la faveur des dieux / a conservé les jours, le voici. "

Rápido, as ordens recebidas executa, / conseguindo que os penos renunciem / às suas intenções inamistosas; / e, o que é mais importante, a soberana / assuma, em relação aos teucros, sentimentos / de paz e um coração benevolente.

Un facile succès couronne son message : / il parle, il adoucit la superbe Carthage, / de sua puissante reine apprivoise l'orgueil, / et les Troyens déjà sont sûrs d'un doux accueil.

Lá mantinha seu carro e lá sua armadura. / A deusa, desde que Cartago foi fundada, / desejou vê-la soberana das nações / e tudo fez a fim de que o destino / de tal sonho admitisse a concretização.

C'est là qu'étaient ses armes, / c'est là qu'était son char ; là, son superbe espoir / veut voir la terre entière adorer son pouvoir.

"A soberana é Dido, proveniente / da cidade de Tiro, de onde o irmão / fê-la fugir. Longa seria a narração, / com pormenores, da injustiça cometida / contra ela, mas da história vou fazer / um resumo dos fatos principais".

" La reine de ces lieux est la belle Didon : / elle reçut le jour dans la riche Sidon ; / mais, d'un frère cruel fuyant la barbarie, / son courage en ces lieux s'est fait une patrie. / L'histoire de ses maux voudrait un long discours ; / je vais en peu de mots vous en tracer le cours. "

Estava a soberana ali ditando leis, / ministrando a justiça e repartindo / com critério e equidade encargos e tarefas, / ou mediante sorteio os atribuindo, / quando súbito Eneias vê chegando, / em meio a muita gente, Anteu, Sergesto, / o intrépido Cloanto e outros troianos / que um negro turbilhão dispersara no mar / e para longes costas arrastara.

Et là, son équitable voix / dicte ses jugements, et proclame ses lois ; / dispense également les travaux de Carthage, / ou par l'arrêt du sort en règle le partage ; / voit, juge, ordonne tout, et d'une noble ardeur / hâte de ses états la future grandeur. / Tout à coup, au milieu d'une foule bruyante, / des étrangers, tendant une main suppliante, / de leurs concitoyens entrent environnés, / et frappent du héros les regards étonnés.

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "