Examples of using "Guerreiros" in a sentence and their french translations:
oui nous sommes des esprits guerriers
Les cris de la fureur et le bruit du carnage / se mêlent dans les airs aux accents du clairon.
Pendant près de trois siècles, l'Europe avait été terrorisée par les guerriers scandinaves, dont l'
- Am, stram, gram, pic et pic et colégram, bour et bour et ratatam, am, stram, gram.
- Pote pote les carottes, à la place des tomates, boule de canon tu fiches le camp !
- Pisse l'andouille, c'est toi l'andouille !
- En den tic, sipita lastic, sipita laboumlala, en den tic.
Sinon va ouvrir les flancs du cheval, et en fait sortir les guerriers qu'il recelait.
Lui-même il se retrouve au plus fort des combats. / Il voit le noir Memnon de ses ardents climats / traîner ses noirs guerriers.
Fixé sur ces tableaux, qu'il contemple à loisir, / le héros s'enivrait d'un douloureux plaisir : / soudain Didon paraît. Appui de sa couronne, / de ses jeunes guerriers l'élite l'environne ; / la grâce dans ses traits est jointe à la fierté.
Ils s'emparent de Troie ; et les vapeurs du vin / et la paix du sommeil secondant leur dessein, / ils massacrent la garde, ouvrent toutes les portes, / et la mort dans nos murs entre avec leurs cohortes.
" On le croit. Cependant, en ses flancs ténébreux / ils cachent des guerriers, et de ses antres sombres / une élite intrépide ose habiter les ombres. "
Je marche vers ces lieux ; mais son œil de plus près / à peine eut reconnu mon visage, mes traits, / distingué mes habits et mes armes troyennes, / elle tombe : son sang s'est glacé dans ses veines. / Elle reste longtemps sans force et sans couleur ; / mais enfin, rappelant un reste de chaleur :
" C'est nous qui, compagnons de périls, de travaux, / suivîmes ton exil, partageâmes tes maux ; / c'est nous qui, terminant ta course vagabonde, / à ta race immortelle asservirons le monde. / Ose donc mériter ta future splendeur. "
Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "
" Ô des Grecs le plus brave et le plus formidable, / fils de Tydée, hélas ! sous ton bras redoutable, / dans les champs d'Ilion, les armes à la main, / que n'ais-je pu finir mon malheureux destin ; / dans ces champs où d'Achille Hector devint la proie, / où le grand Sarpédon périt aux yeux de Troie, / où le Xanthe effrayé roule encor dans ses flots / les casques et les dards, et les corps des héros ! "